BONOBO : On n’apprend pas à un vieux Bonobo à faire la grimace!
Après ces dernières semaines passées à vous avoir parlé en long, en large et en travers du trip hop, avec des artistes plus ou moins émergents, nous atteignons aujourd’hui le niveau final, avec le big boss, le bien-nommé Bonobo. Le producteur, compositeur et Dj anglais Simon Green, dit Bonobo, est depuis toujours considéré comme l’un des pionniers de la musique downtempo et trip hop. Et nous l’en remercions.
L’ayant découvert sur le tard en 2011 sur les conseils d’un ami, j’ai été tout de suite séduite au point d’acheter d’un trait toute sa discographie. Discographie qui, par ailleurs, vient de s’enrichir de la sortie d’un nouvel album The North Borders. Pour l’instant, il n’est disponible que sur iTunes et NinjaTunes, l’album sera en vente dès le Lundi 1er Avril.
Bonobo s’est d’abord concentré sur la réalisation d’albums uniquement instrumentaux, qu’il a enrichit avec des samples, des rythmes empruntés au hip hop et des instruments plus ou moins réels. Ces samples, pour la plupart récupérés sur des vinyles, donnent à sa musique ces craquements si caractéristiques. A partir de 2006 il s’est entouré de chanteurs pour apporter une nouvelle dimension à son ouvrage.
J’aurais pu vous présenter une chanson quelconque de l’album mais j’ai choisi de prendre Cirrus. Même si on l’entend souvent depuis 2 mois, elle représente pour moi l’essence même de la musique de Bonobo, reconnaissable dès les premières notes.
Ne loupe aucune de nos chroniques !